Symptômes du SPDA

Les symptômes ou séquelles du SPDA sont une menace potentielle au pronostic vital. Un diagnostic exact et une prise en charge appropriée sont essentiels.

Les symptômes du SPDA peuvent varier, même parmi les membres d’une famille porteurs de la même maladie génétique1.
La liste des symptômes du SPDA peut comprendre : des infections sinopulmonaires récurrentes; de graves infections au virus de l’herpès, en particulier le virus d’Epstein-Barr (VEB) et le cytomégalovirus (CMV); une lymphadénopathie, une hépatomégalie, une splénomégalie et/ou une hyperplasie lymphoïde nodulaire; des cytopénies auto-immunes; une entéropathie; ou un lymphome1.2.
Le SPDA est une maladie évolutive pouvant entraîner des lésions aux organes cibles1,3,4.
Le plus souvent, la maladie commence à se manifester par de graves infections sinopulmonaires récurrentes au cours de la petite enfance, tandis que les troubles lymphoprolifératifs et auto-immuns mentionnés précédemment surviennent habituellement plus tard pendant l’enfance1.

SIGNES ET SYMPTÔMES DU SPDA1

Lymphadénopathie
Cytopénies auto-immunes
Lymphome
Entéropathie
Infections graves au virus de l’herpès, en particulier le virus d’Epstein-Barr (VEB) et le cytomégalovirus (CMV)
Retard de développement neurologique
Infections sinopulmonaires récurrentes
Bronchectasie
Splénomégalie, hépatomégalie
Phénotypes de dérèglement des lymphocytes B et des lymphocytes T
Lymphadénopathie
Cytopénies auto-immunes
Lymphome
Entéropathie
Infections graves au virus de l’herpès, en particulier le virus d’Epstein-Barr (VEB) et le cytomégalovirus (CMV)
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Retard de développement neurologique
Infections sinopulmonaires récurrentes
Bronchectasie
Splénomégalie, hépatomégalie
Phénotypes de dérèglement des lymphocytes B et des lymphocytes T

“Typically, a person with APDS will present to a hospital within the first 5 years of life with a predominant and recurring respiratory tract infection. They can also present with swollen lymph nodes. Unfortunately these general patient symptoms often result in medical professionals pre-diagnosing a range of autoimmune disorders before a primary immunodeficiency (PI) diagnosis is considered.

Even if a PI classification is given, a patient can be misdiagnosed with Common Variable Immune Deficiency (CVID) or Hyper IgM. This leads to APDS patients being cared for by a variety of physicians, and symptoms being managed without recognizing the underlying genetic defect.”

Nicholas Hartog, MD, is a board-certified pediatric and adult allergy and immunology physician.

Manifestations cliniques du SPDA*

People with APDS usually suffer from any two or more of the symptoms below.
Infections sinopulmonaires récurrentes
96 % à 100 % des cas1,5
Les infections sinopulmonaires récurrentes comprennent les infections des voies respiratoires supérieures, l’otite moyenne (qui peut évoluer vers une perte auditive permanente), la sinusite et la pneumonie. En général, ces infections sont la première manifestation de la maladie et surviennent dès la petite enfance.
Entéropathie
25 % des cas1
La diarrhée, des troubles de malabsorption et la colite ont été observés chez des personnes atteintes du SPDA.
Retard de développement neurologique
31 % des cas1,6,9,11
Les retards de développement neurologique et les troubles neuropsychiatriques observés dans le SPDA comprennent un retard de développement global, un retard de langage primaire, de légers déficits cognitifs, des problèmes d’apprentissage, l’autisme, le syndrome d’Asperger, l’anxiété, la dépression et des troubles comportementaux.
Infections chroniques, graves ou récurrentes par le virus de l’herpès
49 % des cas1,6–8
Des infections virales aiguës et chroniques ou des réactivations ont été observées, en particulier des infections par le VEB et le CMV. Ces deux infections, y compris la virémie chronique et les infections généralisées, sont les plus graves et surviennent dans 26 % et 15 % des cas, respectivement. Le virus herpès simplex (VHS) et celui de la varicelle et du zona (VZV) ont également été observés chez des personnes atteintes du SPDA.
Cytopénies auto-immunes
30 % des cas9,10
Dans le SPDA, les cytopénies peuvent toucher plusieurs lignées de cellules sanguines et comprennent l’anémie, la thrombocytopénie et la leucopénie. Les personnes atteintes du SPDA 1 sont plus souvent touchées que celles atteintes du SPDA 2.
Retard de croissance
45 % des cas de SPDA 212
Chez les personnes atteintes du SPDA 2 en particulier, la taille et le poids peuvent être compromis.
Lymphoprolifération
75 % des cas1,6
La lymphoprolifération, y compris la lymphadénopathie, la splénomégalie ou l’hépatomégalie, toucherait 75 % des personnes atteintes du SPDA.

Dans le système respiratoire et l’appareil gastro-intestinal, la lymphoprolifération a été observée sous la forme d’hyperplasie lymphoïde nodulaire mucosale. Dans l’appareil gastro-intestinal, l’hyperplasie lymphoïde nodulaire serait associée à une entéropathie chez les personnes atteintes du SPDA.

La lymphoprolifération avec lymphadénopathie et splénomégalie apparaît à l’âge médian de 3 ans.
Maladies auto-immunes et maladies auto-inflammatoires
28 % à 42 % des cas1,10
Bien que les cytopénies soient les maladies auto-immunes les plus fréquentes dans le SPDA, d’autres maladies auto-immunes et auto-inflammatoires comme la thyroïdite auto-immune, l’arthrite, la glomérulonéphrite, la cirrhose, la cholangite sclérosante, l’hépatite auto-immune, le diabète et l’eczéma ont été signalées. L’auto-immunité commence vers l’âge de 10,5 ans.
Bronchectasie
50 % des cas1,13
Les lésions pulmonaires causées par des infections, combinées à la lymphadénopathie et l’hyperplasie mucosale nodulaire, peuvent évoluer vers des lésions permanentes sous forme de bronchectasie.
Lymphome
13 % à 30 % des cas1,10,11
Le lymphome est le cancer le plus souvent observé chez les personnes atteintes du SPDA. Il comprend les lymphomes hodgkiniens classiques, ainsi que des lymphomes non hodgkiniens comme le lymphome diffus à grandes cellules B et le lymphome à cellules B de la zone marginale. Le risque de lymphome est plus élevé chez les personnes ayant des antécédents d’infections virales, en particulier le VEB.

D’autres cancers, comme des leucémies, peuvent également être observés dans le SPDA, mais moins fréquemment que le lymphome. Le risque cumulatif de cancer à l’âge de 40 ans serait de 78 % chez les personnes atteintes du SPDA 2.
Infections sinopulmonaires récurrentes
96 % à 100 % des cas1,5
Les infections sinopulmonaires récurrentes comprennent les infections des voies respiratoires supérieures, l’otite moyenne (qui peut évoluer vers une perte auditive permanente), la sinusite et la pneumonie. En général, ces infections sont la première manifestation de la maladie et surviennent dès la petite enfance.
Entéropathie
25 % des cas1
La diarrhée, des troubles de malabsorption et la colite ont été observés chez des personnes atteintes du SPDA.
Retard de développement neurologique
31 % des cas1,6,9,11
Les retards de développement neurologique et les troubles neuropsychiatriques observés dans le SPDA comprennent un retard de développement global, un retard de langage primaire, de légers déficits cognitifs, des problèmes d’apprentissage, l’autisme, le syndrome d’Asperger, l’anxiété, la dépression et des troubles comportementaux.
Infections chroniques, graves ou récurrentes par le virus de l’herpès
49 % des cas1,6–8
Des infections virales aiguës et chroniques ou des réactivations ont été observées, en particulier des infections par le VEB et le CMV. Ces deux infections, y compris la virémie chronique et les infections généralisées, sont les plus graves et surviennent dans 26 % et 15 % des cas, respectivement. Le virus herpès simplex (VHS) et celui de la varicelle et du zona (VZV) ont également été observés chez des personnes atteintes du SPDA.
Cytopénies auto-immunes
30 % des cas9,10
Dans le SPDA, les cytopénies peuvent toucher plusieurs lignées de cellules sanguines et comprennent l’anémie, la thrombocytopénie et la leucopénie. Les personnes atteintes du SPDA 1 sont plus souvent touchées que celles atteintes du SPDA 2.
Retard de croissance
45 % des cas de SPDA 212
Chez les personnes atteintes du SPDA 2 en particulier, la taille et le poids peuvent être compromis.
Lymphoprolifération
75 % des cas1,6
La lymphoprolifération, y compris la lymphadénopathie, la splénomégalie ou l’hépatomégalie, toucherait 75 % des personnes atteintes du SPDA.

Dans le système respiratoire et l’appareil gastro-intestinal, la lymphoprolifération a été observée sous la forme d’hyperplasie lymphoïde nodulaire mucosale. Dans l’appareil gastro-intestinal, l’hyperplasie lymphoïde nodulaire serait associée à une entéropathie chez les personnes atteintes du SPDA.

La lymphoprolifération avec lymphadénopathie et splénomégalie apparaît à l’âge médian de 3 ans.
Maladies auto-immunes et maladies auto-inflammatoires
28 % à 42 % des cas1,10
Bien que les cytopénies soient les maladies auto-immunes les plus fréquentes dans le SPDA, d’autres maladies auto-immunes et auto-inflammatoires comme la thyroïdite auto-immune, l’arthrite, la glomérulonéphrite, la cirrhose, la cholangite sclérosante, l’hépatite auto-immune, le diabète et l’eczéma ont été signalées. L’auto-immunité commence vers l’âge de 10,5 ans.
Bronchectasie
50 % des cas1,13
Les lésions pulmonaires causées par des infections, combinées à la lymphadénopathie et l’hyperplasie mucosale nodulaire, peuvent évoluer vers des lésions permanentes sous forme de bronchectasie.
Lymphome
13 % à 30 % des cas1,10,11
Le lymphome est le cancer le plus souvent observé chez les personnes atteintes du SPDA. Il comprend les lymphomes hodgkiniens classiques, ainsi que des lymphomes non hodgkiniens comme le lymphome diffus à grandes cellules B et le lymphome à cellules B de la zone marginale. Le risque de lymphome est plus élevé chez les personnes ayant des antécédents d’infections virales, en particulier le VEB.

D’autres cancers, comme des leucémies, peuvent également être observés dans le SPDA, mais moins fréquemment que le lymphome. Le risque cumulatif de cancer à l’âge de 40 ans serait de 78 % chez les personnes atteintes du SPDA 2.
Infections sinopulmonaires récurrentes
96 % à 100 % des cas1,5
Les infections sinopulmonaires récurrentes comprennent les infections des voies respiratoires supérieures, l’otite moyenne (qui peut évoluer vers une perte auditive permanente), la sinusite et la pneumonie. En général, ces infections sont la première manifestation de la maladie et surviennent dès la petite enfance.
Entéropathie
25 % des cas1
La diarrhée, des troubles de malabsorption et la colite ont été observés chez des personnes atteintes du SPDA.
Retard de développement neurologique
31 % des cas1,6,9,11
Les retards de développement neurologique et les troubles neuropsychiatriques observés dans le SPDA comprennent un retard de développement global, un retard de langage primaire, de légers déficits cognitifs, des problèmes d’apprentissage, l’autisme, le syndrome d’Asperger, l’anxiété, la dépression et des troubles comportementaux.
Infections chroniques, graves ou récurrentes par le virus de l’herpès
49 % des cas1,6–8
Des infections virales aiguës et chroniques ou des réactivations ont été observées, en particulier des infections par le VEB et le CMV. Ces deux infections, y compris la virémie chronique et les infections généralisées, sont les plus graves et surviennent dans 26 % et 15 % des cas, respectivement. Le virus herpès simplex (VHS) et celui de la varicelle et du zona (VZV) ont également été observés chez des personnes atteintes du SPDA.
Cytopénies auto-immunes
30 % des cas9,10
Dans le SPDA, les cytopénies peuvent toucher plusieurs lignées de cellules sanguines et comprennent l’anémie, la thrombocytopénie et la leucopénie. Les personnes atteintes du SPDA 1 sont plus souvent touchées que celles atteintes du SPDA 2.
Retard de croissance
45 % des cas de SPDA 212
Chez les personnes atteintes du SPDA 2 en particulier, la taille et le poids peuvent être compromis.
Lymphoprolifération
75 % des cas1,6
La lymphoprolifération, y compris la lymphadénopathie, la splénomégalie ou l’hépatomégalie, toucherait 75 % des personnes atteintes du SPDA.

Dans le système respiratoire et l’appareil gastro-intestinal, la lymphoprolifération a été observée sous la forme d’hyperplasie lymphoïde nodulaire mucosale. Dans l’appareil gastro-intestinal, l’hyperplasie lymphoïde nodulaire serait associée à une entéropathie chez les personnes atteintes du SPDA.

La lymphoprolifération avec lymphadénopathie et splénomégalie apparaît à l’âge médian de 3 ans.
Maladies auto-immunes et maladies auto-inflammatoires
28 % à 42 % des cas1,10
Bien que les cytopénies soient les maladies auto-immunes les plus fréquentes dans le SPDA, d’autres maladies auto-immunes et auto-inflammatoires comme la thyroïdite auto-immune, l’arthrite, la glomérulonéphrite, la cirrhose, la cholangite sclérosante, l’hépatite auto-immune, le diabète et l’eczéma ont été signalées. L’auto-immunité commence vers l’âge de 10,5 ans.
Bronchectasie
50 % des cas1,13
Les lésions pulmonaires causées par des infections, combinées à la lymphadénopathie et l’hyperplasie mucosale nodulaire, peuvent évoluer vers des lésions permanentes sous forme de bronchectasie.
Lymphome
13 % à 30 % des cas1,10,11
Le lymphome est le cancer le plus souvent observé chez les personnes atteintes du SPDA. Il comprend les lymphomes hodgkiniens classiques, ainsi que des lymphomes non hodgkiniens comme le lymphome diffus à grandes cellules B et le lymphome à cellules B de la zone marginale. Le risque de lymphome est plus élevé chez les personnes ayant des antécédents d’infections virales, en particulier le VEB.

D’autres cancers, comme des leucémies, peuvent également être observés dans le SPDA, mais moins fréquemment que le lymphome. Le risque cumulatif de cancer à l’âge de 40 ans serait de 78 % chez les personnes atteintes du SPDA 2.

Les symptômes du SPDA peuvent représenter un lourd fardeau pour les personnes atteintes et leur famille9,14,15.

En plus des effets physiques de la maladie, les hospitalisations et les interventions chirurgicales sont courantes. La polypharmacie est souvent nécessaire pour prendre en charge les symptômes, et de nombreux(-ses) médecins sont consulté(e)s tout au long du processus diagnostique et des étapes de prise en charge9.

Video: APDS Mechanism of Disease

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*Les résultats proviennent d’études internationales.
Les données disponibles sur le SPDA sont limitées.

Références :

  1. Redenbaugh V, Coulter T. Disorders related to PI3Kδ hyperactivation: Characterizing the clinical and immunological features of activated PI3-kinase delta syndromes. Front Pediatr. 2021;9:702872.
  2. Lucas CL, et al. Dominant-activating germline mutations in the gene encoding the PI(3)K catalytic subunit p110δ result in T cell senescence and human immunodeficiency. Nat Immunol. 2014;15(1):88–97.
  3. Nunes-Santos CJ, et al. PI3K pathway defects leading to immunodeficiency and immune dysregulation. J Allergy Clin Immunol. 2019;143(5):1676–1687.
  4. Coulter TI, Cant AJ. The treatment of activated PI3Kδ syndrome. Front Immunol. 2018;9:2043.
  5. Carpier JM, Lucas CL. Epstein-Barr Virus susceptibility in activated PI3Kδ syndrome (APDS) immunodeficiency. Front Immunol. 2018;8:2005.
  6. Coulter TI, et al. Clinical spectrum and features of activated phosphoinositide 3-kinase δ syndrome: A large patient cohort study. J Allergy Clin Immunol. 2017;139(2):597–606.e4.
  7. Jamee M, et al. Clinical, immunological, and genetic features in patients with activated PI3Kδ syndrome (APDS): A systematic review. Clin Rev Allergy Immunol. 2020;59(3):323–333.
  8. Cohen JI. Herpesviruses in the activated phosphatidylinositol-3-kinase-δ syndrome. Front Immunol. 2018;9:237.
  9. Maccari ME, et al. Disease evolution and response to rapamycin in activated phosphoinositide 3-kinase δ syndrome: The European society for immunodeficiencies-activated phosphoinositide 3-kinase δ syndrome registry. Front Immunol. 2018;9:543.
  10. Schworer SA, et al. Autoimmune cytopenia as an early and initial presenting manifestation in activated PI3 kinase delta syndrome: Case report and review. J Pediatr Hematol Oncol. 2021;43(8):281–287.
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    J Allergy Clin Immunol. 2016;138(1):210-218.e9.
  12. Moreno-Corona N, et al. Two monogenetic disorders, activated PI3-kinase-δ syndrome 2 and smith-magenis syndrome, in one patient: case report and a literature review of neurodevelopmental impact in primary immunodeficiencies associated with disturbed PI3K signaling. Front Pediatr. 2021;9:688022.
  13. Condliffe AM, Chandra A. Respiratory manifestations of the activated phosphoinositide 3-kinase delta syndrome. Front Immunol. 2018;9:338.
  14. Rider NL, et al. Health-related quality of life in adult patients with common variable immunodeficiency disorders and impact of treatment. J Clin Immunol. 2017;37(5):461–475.
  15. Hitchcock I, et al. A qualitative study to explore the burden of disease in activated phosphoinositide 3-kinase delta syndrome (APDS). Orphanet J Rare Dis. 2024;19(1):203.
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